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VIDEOS VINTAGE & CLASSIEUSES
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![]() ORLEANS SOUS LES BOMBES 1940
De nombreuses photos et vidéos inédites de cette période. Entre Septembre 1939 et Mai 1940, la population orléanaise semble avoir suivi de loin la drôle de guerre. Ce n'est qu'aux alentours du 13 Juin 1940 que la peur gagne les habitants. L'afflux de réfugiés, en provenance du nord, et le départ de l'armée française, le 14 Juin pousse la grande majorité des orléanais à quitter la ville. Ils ne sont plus que quelques milliers semble-t-il, lorsque le premier raid aérien allemand survient dans la nuit du 14 au 15 Juin.Les bombardements vont continuer le 15 et dans la nuit suivante, touchant la rue Royale et le quartier de l'église Saint Paul, le bas de la rue Bannier et l'ouest de la place du Martroi, la maison de Jeanne d'Arc et les archives municipales de la rue d'Illiers. Il ne reste plus que les façades de l'hôtel Cabu et de la Chancellerie. POLICE PYTHON 1975
Un vrai polar... on y voit le marché couvert place du Châtelet (aujourd'hui disparu), le jardin de l'Evêché, l'ancien hôtel de police (situé à l'emplacement de la Médiathèque), le pont Royal, la rue Royale et sa baigneuse, la rue Jeanne d'Arc et la cathédrale ainsi que différentes rues du centre-ville. On ne pourra évidemment oublier la confrontation entre Yves Montand et François Périer sur le duit de la Loire, qui met un point final dramatique à ce chef-d'ouvre du polar. |
![]() ANNEES 60 / 70
Toute une époque en photos ! Le 7 octobre 1949, une délibération du Conseil général du Loiret approuva l'idée d'utiliser le canal pour l'installation d'un bassin de natation de 25 m de long sur 16 m de large, dimension qui correspondait à la largeur du canal. Cette piscine, située à la hauteur de la propriété de la Motte-Sanguin, fut édifiée au cours des années 1950. Pour l'alimenter, on utilisa dans un premier temps les eaux de la Loire, puis, dans un souci d'hygiène, l'eau de la ville fut utilisée. Cette piscine a été ouverte jusqu’à la construction du pont René-Thinat en 1976. De cette piscine, je retiendrais surtout les admirables sandwiches au pâté qui hantent encore mes narines. ![]() LA RUMEUR 1969 L'incroyable affaire d'Orléans Elles seraient trois. Trois jeunes femmes retrouvées séquestrées dans les caves du magasin Dorphé. Ils seraient huit. Huit boutiquiers, en majorité juifs, à participer ainsi, en centre-ville, entre les rues de Bourgogne et de la République, à un trafic de traite des blanches. Prises au piège dans des cabines d'essayage à trappe, les victimes seraient anesthésiées avant d'être embarquées nuitamment à bord de bateaux pour d'exotiques destinations. |
![]() L'AEROTRAIN 1974
Un incroyable gâchis La voie d'essai de l'aérotrain d'Orléans est un pont ferroviaire expérimental français situé entre Saran et Ruan dans le département du Loiret. Le monorail fut emprunté par l'aérotrain lors des essais des prototypes I80-250 et I80-HV conçus par l'ingénieur Jean Bertin. C'est sur cette voie d'essai que le I80-HV établit le record mondial de vitesse d'un transport guidé avec 430,4 km/h le 5 mars 1974. Lors de sa construction, la voie était censée s'inscrire dans un futur axe Paris-Orléans. Elle est aujourd'hui désaffectée. ![]() LES FLORALIES 1967
Une première en France D'octobre à avril 1967, Orléans organise les Floralies avec Astérix et les Gaulois en vedette.Cette exposition florale, une première en France, fera école avec plus de deux millions de visiteurs. Quelques copains :
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